Marcel KAHLEM

Voila papa
Le grand joueur de boules va nous manquer dans les prochains repas de famille, j’étais ta princesse et tu étais l’homme de la vie de maman, le grand père et le beau père idéal.

Je te remercie papa de m’avoir apporté tant de joie, de m’avoir soutenu dans toute les étapes de ma vie au coté de maman.

Voila Papa, tu étais un homme fort, très fort, mais la maladie t’a tellement affaiblie ces deux derniers mois que tu n’as pas accepté d’être diminué et tu n’as pas réussi à te battre cette fois-ci. Tu étais trop fatigué et la maladie a gagnée.
Tu vas rejoindre tous tes amis partis trop tôt et ils attendent pour te montrer le chemin.

Tu laisses un grand vide dans notre vie, mais sache qu'il y aura toujours une place pour toi dans nos cœurs. Je sais que tu veilleras toujours sur nous, comme tu l'as toujours fait.
Papa, tu nous manques déjà mais rassures toi, le clan fouqou, lulu, vos voisins et mes amis vont m‘aider à veiller sur maman.

Repose en paix, on ne t'oubliera jamais

Johan :
Nous voudrions dire ces quelques mots pour raconter le grand père merveilleux que tu as été. Depuis que tu es parti, nous sommes nostalgiques de tous les bons moments que nous avons vécu ensemble et toutes les choses que tu nous as apprises.
En passant par les canards dans ton café, les mouillettes de beurre salé, tu nous as appris à jardiner et bricoler.
Tu nous faisais faire les otaries sur la terrasse, on jouait au nain jaune ou aux boules et tu nous amenais faire de la rosalie au parc Borély. Quand on grimpait aux oliviers pour ramasser les olives et faire notre huile ou qu'on t'accompagnait faire ton tiercé et acheter le pain. Ou alors comment trouver des esques pour aller pêcher en Bretagne.
Tous ces moments qu'on a partagé sont des bons moments, des souvenirs d'enfance gravés pour toujours.
Tu nous as appris et transmis tellement de choses, sans oublier ta passion pour l'OM et ton goût pour le pastis, nous ne serions pas les personnes que nous sommes aujourd'hui si nous ne t'avions pas connu.
Tu as été un exemple pour nous.
J'espère que plus tard, je serai un aussi bon père et grand père que tu as été, parce que pour nous tu as été le meilleur des papis.
Loïc :
Que dire de plus, tu as été plus qu’un exemple pour nous. Tu étais un guide qui je pense nous guidera encore dans le futur. Tu as fait de nous les personnes que nous sommes aujourd’hui et que nous serons plus tard. Tu nous as transmis tellement de valeur et de passion que je ne pourrais les énumérais. Tu les as gravés en nous et elles le resteront pour toujours. Comme cette amour pour l’OM qui m’a permis de passer des moments privilégiés avec toi dans cette dernière période difficile. Merci d’avoir été un papi aussi parfait avec nous 3.

Ninon était ta poupée et vous vous chamaillez souvent pour la télécommande de la télé.

"Ninon" : Papi Marcel est un homme courageux et merveilleux. Il a su être notre rayon de soleil à tous. Aujourd'hui, j'ai perdu non seulement mon papi mais aussi une partie de moi. Nos souvenirs chaleureux seront toujours dans mon coeur. J'essaierai de sourire le plus possible pour toi même si ça va être dur sans toi.
Papi est parti mais il ne quittera jamais nos coeurs et je n'aurai jamais assez de toute une vie pour le remercier d'avoir été lui même.
J'espère qu'on se reverra dans les étoiles car tu me manques très fort. Je t'aime.

Johan : On te promet que l'on s'occupera bien de ta biche, qu'on la fera rire et l'amènera balader et boire des mojitos.
Je suis fier de m'appeler Johan Marcel, je ne t'oublierai jamais, tu vas nous manquer mon petit papi Marcel.

Loïc : Je ne m’appelle pas Marcel mais je sais bien que je suis ton petit-fils car nous avons le même nez. Nous t’aimons et t’aimerons toujours, on ne t’oubliera jamais.

Papa, tu es né le 15 juillet 1936 à Tours .
Frère ainé de trois enfants, tu es parti de ta ville natale pour faire le tour de France des compagnons du devoir et devenir menuisier.
Tu as rencontré maman en 1960 à Marseille.
Vous vous êtes marié en 1961 et vous ne vous êtes plus jamais quittés.
Vous avez fondé notre petite famille à Marseille avec bien des embûches mais vous n‘avez jamais baissé les bras et vous êtes toujours restés souder face aux drames que vous avez traversés.
C’est difficile de parler de toi sans maman tant vous étiez un couple tellement complémentaire et uni.
Tu as été un mari fidéle, tu surnomais maman « ma biche »  durant ces 61 ans de mariage.
Tu as été un beau fils bienveillant, tu t‘es occupé de pépé et mémé comme si c’était tes propres parents.
Tu as été le grand frère manuel de la famille qui a suivi le chemin des compagnons du devoir de son père.

Tu étais mon papa, mon papounet. Celui qui m’a appris à marcher, à nager, à faire du vélo et qui a toujours veillé sur moi. Celui qui m’a fourni avec maman mon éducation et les armes nécessaires pour affronter la vie.
Papa tu étais discret, pas très bavard mais surtout authentique, sans filtre et toujours disponible pour tous.

Les valeurs des compagnons du devoir que sont la confiance, la fraternité, la générosité mais aussi la patience et l‘exigence sont ancrés en toi.

Quand j’ai rencontré bruno et qu’il est entré dans ma vie, tu l’as de suite accepté sans rien dire. Puis tu es arrivé avec tes outils pour agrandir mon lit en140 afin qu il ne dorme plus sur une chauffeuse dans ma chambre.

Tu n’as pas bâti un empire car tu préférais servir plutôt que te servir des autres pour t’enrichir.
Tu as bati un foyer solide pour ta famille. Tu aimais les choses naturelles et authentiques comme le bois et surtout pas les dorures et les paillettes.
Tu as acheté une grange à pertuis que tu as transformé en maison à la force de tes bras. Tu bricolais tous les week end dans ce cabanon. Entre deux pierre posées, nous partions pécher dans la Durance et au retour nous ramassions les galets pour en faire une terrasse par exemple.
Cette maison, lieu des fêtes familiales de mon enfance, me laisse plein de souvenirs joyeux.
A mon adolescence, tu m’amenais aux match de volley ou au camping avec mes amies dans ta fameuse visa bleue. Tu étais toujours présent pour nous accompagner.

La famille a toujours été une priorité, les étés, nous partions en vacance en Bretagne avec l’étape incontournable par ta Tourraine natale pour revoir toute ta famille.

A la retraite vous avez fait construire votre maison sur les hauteurs de saint antoine pour vos vieux jours où vous avez vecu avec Melba et gardé vos 3 petits enfants.
Tu aimais surtout jardiner et bricoler. Cette vie paisible te suffisait.

Avec maman, vous avez considéré bruno et son frère comme si c’étaient vos propres fils, et vous avez accueilli eric dans cette maison. Il a pu profiter de votre magnifique jardin fleuri durant de nombreuses années.

Vos foyers du boulevard oddo, de chante le vent ou de pertuis ont toujours été ouverts à tous. Mes amis pouvaient y venir quand ils voulaient, on faisait les parties de crêpes, des goûters, des repas et des fetes

J’ai été une fille unique mais vous avez toujours invité mes amis à venir chez nous, ils me sont restés fidèles depuis de décennies et sont autour de moi aujourd’hui. Ils font partis maintenant de ma vie pour toujours.

Papa tu aimais le sport, l’OM, la pèche, le bricolage , le jardin, les repas de famille et les choses simple.
Tu étais un avant-gardiste écologiste car tu recupérais tout, tu disais « ça peut toujours servir ». Ton garage est une annexe d‘un magasin de bricolage et un grand bazar où tout le monde peut venir chercher un outil, une vis, un clou ...
Tu étais taquin, parfois maladroit et ton défaut c’était ta mauvaise fois. Tout le monde t’aimait et se souvient de ta gentillesse, ta disponibilité, de tes blagues et de tes anecdotes.

Vous avez été avec maman aussi très disponibles en tant que grand parents, on a eu cette chance d‘avoir les papy et mamies à 20 minutes de chez nous pour nous aider à élever Johan, Loic et Ninon qui vont nous expliquer leur histoire à vos cotés 

Nos sincères condoléances en ce jour de tristesse. Nos pensées vous accompagnent pour les jours à venir.
Sylvie et Richard

Toutes mes sincères condoléances .
Nous sommes de tout cœur avec vous . Beaucoup de courage .

Famille HERVOUËT - CHAIZE

Affectueuses pensées aux familles khalem et Fouqou dans la douloureuse disparition de Marcel !

C’est avec une très grande peine que nous avons appris le décès de Marcel Kahlem.
Nous garderons l’image d’une personne gentille, attentionnée et très attachée à sa famille, connaissant bien les ami(es) de sa fille Carole, sa Caco, ma copine, ainsi que l’image d’un grand passionné de l’OM, abonné pendant de nombreuses années au « Vélodrome ».
Nous adressons à Pierrette, Carole, Bruno ainsi qu’à ses petits enfants Johan, Loïc et Ninon, nos plus sincères condoléances, nous associant à leur chagrin.
« Une personne chère ne nous quitte jamais... »

Christine, Patrick (mounette et mounet)
Marine et Pauline Bossy

MARCEL, papa de mon amie Carole.
C'est avec une grande émotion et tristesse que j'ai appris votre disparition. Je pense fort à Pierette, Carole, Bruno, Johan, Loïc et Ninon et je partage leur peine dans cette douloureuse épreuve. De nombreuses images et beaucoup de souvenirs me reviennent....
La citée Chante le vent , votre Citroën visa bleue, des bons moments passés à Pertuis. Les années passent vous devenez le beau père de Bruno, puis le Papi de Johan, Loïc, et Ninon (ma filleule). Je garderai de vous le souvenir d'un homme jovial, généreux, respectueux et très humain.
Alain se souviendra des parties de contrée que vous avez partagées et des discussions au sujet de l'OM dont vous étiez un vrai supporter.
Je pense aussi a votre passion: le jardin, grâce a vous j'ai connu ce qu'étaient les fèves, et j'ai pu voir des roses énormes et magnifiques.
Marcel, reposez en paix dans le jardin des mémoires .

C'est avec beaucoup de peine que nous avons appris le décès de Mr Kahlem, nous garderons de lui
l'image d'un homme serviable, gentil et authentique.
A Mme Kahlem, à Carole et sa famille, nous présentons nos condoléances attristées.
Martine, Régis et Jérome