Photo de Monsieur Lionel VOYNIER

Lionel VOYNIER

décédé le 14 mai 2025 à l'âge de 70 ans
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Photo de Monsieur Lionel VOYNIER
Lionel VOYNIER
décédé le 14 mai 2025 à l'âge de 70 ans

Message de la famille

Chère famille, cher.e.s ami.e.s,

C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Lionel VOYNIER survenu mercredi 14 mai 2025 à Marseille. La cérémonie se déroulera le mardi 27 mai 2025 à 14h00 à l'adresse suivante : Crématorium d'Annecy - Rue du Cimetière des Îles - 74000 Annecy.

Nous vous invitons à utiliser cet espace pour laisser vos condoléances, partager des photos souvenirs, une anecdote ou exprimer vos pensées à travers des poèmes ou des textes. Cet endroit est un lieu d'expression dédié à honorer la mémoire de Lionel VOYNIER.


Un service de plantation d’arbre hommage est disponible ici.

Cérémonie civile

mardi 27 mai 2025 à 14h00
Crématorium d'Annecy
Rue du Cimetière des Îles
74000 Annecy

Déroulé des obsèques

1Cérémonie civile

Le mardi 27 mai 2025 à 14h00

2Crémation

Le mardi 27 mai 2025 à 14h00

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Conservez un souvenir des hommages rédigés dans un beau livre

Lionel VOYNIER 1954 - 2025 Marie Agnès Aujourd’hui, c’est un jour difficile car je dois te dire au revoir alors que je t’aimais tant. Les années passent, je me disais que j'avais une marraine exceptionnelle, gentille, toujours attentionnée. Quelle tristesse pour moi, tu me manqueras énormément, je ne t'oublierai jamais. Au revoir Marraine. Lucas Morel Devant ce douloureux coup du sort, je suis à la fois triste et décontenancée. Je voudrais vous apporter un peu de réconfort, mais, aujourd’hui les mots me manquent. Anaïs Henri Toutes mes pensées affectueuses à vous, qui m’avez fait aimer les mathématiques. Votre gentillesse, votre pédagogie envers nous restera gravé comme un précieux souvenir de mon enfance. Vous avez marqué ma vie bien au-delà de la salle de classe. Reposez en paix.
Le Livre Hommage rassemble les condoléances, photos et témoignages partagés par les proches pour honorer la mémoire de M. VOYNIER.

Hommages rendus

16 hommages
1 accompagné de fleurs
  • Il y a 1 mois
    Jean-Jacques Salgon

    Lionel,

    Je ne vais pas raconter plus de 48 années d’une amitié qui ne connut aucun nuage. Juste dire que depuis ce jour de l’automne 1976 où je t’ai rencontré par hasard dans un petit village près d’Annecy dont j’ai oublié le nom nous ne nous sommes jamais quittés. Tu es venu me voir aux Vans, à Nîmes, à Yamoussoukro en Côte d’Ivoire, à La Rochelle, à Paris. Comme tu arrivais souvent à l’improviste, je me souviens qu’à Yamoussoukro un employé de l’école où je travaillais m’avait prévenu de ton arrivée par ces mots : « ya un Blanc qui vous cherche ». Ensemble nous avons bien voyagé, bien marché et bien rigolé. À Obock, lors de notre voyage sur les traces de Rimbaud et Soleillet, tu t’étais mis en tête de vouloir nettoyer une petite plage jonchée de détritus et de sacs plastique et j’avais du mal à te persuader que ça ne servait à rien, d’ailleurs il n’y avait aucune poubelle pour te débarrasser de ton stock de déchets. Tu avais ainsi des lubies qui faisaient de toi un être fantasque et comme un enfant du Paradis.
    Voici une petite histoire que j’avais écrite en souvenir de notre voyage à Venise, en décembre 1978 :

    À la nuit tombée, nous marchons avec mon ami Lionel sur un quai désert plongé dans le brouillard. Tout est humide, froid, diaphane, féerique, miroitant.
    Toute la journée, Lionel a interpellé des passants en leur posant la même question dans son mauvais anglais : « Do you know where is a night box like Palace in Paris ? »
    Je ne suis pas parvenu à lui faire entendre que personne ici ne connaissait Le Palace, que d’ailleurs il y avait peu de chances qu’il existât à Venise une boîte équivalente à celle de Paris et qu’enfin s’adresser aux Vénitiens dans un mauvais anglais n’était pas forcément le meilleur moyen d’obtenir une réponse. Mais Lionel s’est entêté, sans tenir compte du désarroi dans lequel, à chaque fois, sa question saugrenue jetait ses interlocuteurs.
    La nuit approchant, l’heure du renoncement semble venue quand se présente aux yeux de notre intrépide nightclubber une affiche placardée sur un mur : on annonce pour ce soir un concert du groupe Pink Fluid dans une salle située au fin fond d’un quartier excentré de la Sérénissime.
    Pour ne pas apparaître à ses yeux comme un pisse-froid ou un rabat-joie, je fais taire mes préventions et accepte de l’accompagner.
    C’est ainsi que nous voici à présent marchant sur ce quai désert, tels deux marquis de carnaval filant dans le brouillard vers quelque rendez-vous galant.
    Au bout du quai brille une enseigne lumineuse qui trace un halo dans la brume. C’est le lieu du fameux concert, mais pour le nouveau Woodstock dont rêve Lionel en consolation du Palace, il va falloir patienter ! Nul attroupement sur le quai, seulement un vigile à l’entrée d’une vieille salle de cinéma. Ce dernier accepte de mauvaise grâce de nous laisser jeter un coup d’oeil à l’intérieur pour nous permettre de décider si oui ou non nous allons prendre des billets.
    Bloqués par le bras du vigile qui tient la porte d’entrée entrebâillée, nous découvrons une salle vétuste et pratiquement vide ; quelques têtes çà et là dépassent des dossiers des fauteuils et sur l’avant-scène éclairée violemment par des spots multicolores, un guitariste efflanqué en veste pailletée d’argent, un batteur avachi sur son tabouret et un pianiste dépressif au clavier, sont en train de tenter d’arracher au néant une vague
    re-sucée de A Saucerful of Secrets. Serait-ce un avatar du Music-Hall de
    Fellini Roma ?
    Autant dire que forcés et contraints, nous n’avons plus qu’à tourner les talons et laisser le vigile dépité à l’entrée de sa salle et de ses fauteuils vides. Dépité je le suis moins que Lionel qui pourtant, dès le lendemain, s’empresse de venger le fiasco de sa soirée de la veille en abordant à nouveau les passants, réitérant sans la moindre gêne sa question : « Do
    you know where is a night box like Palace in Paris ? »


    Lionel, tu as peut-être raté le Palace à Venise, mais s’il y a en un là où tu te trouves aujourd’hui, sûr que tu t’y es déjà fait de potes et que le vigile ne t’as pas fait payer l’entrée.

    Nîmes, 26 mai 2025


    close Photos postées par Jean-Jacques Salgon
    Souvenir de Monsieur Lionel VOYNIER par Jean-Jacques Salgon
  • Il y a 1 mois
    Roseline Chavagneux

    Le 8/06/2025, pour Lionel,

    J'ai la mémoire qui flanche
    J'me souviens plus très bien, de notre première rencontre, était-ce aux Vans, chez Jean Jacques du temps où il y avait des dortoirs dans les étages ? Êtait-ce à Nîmes ?
    Nous avons fait cette marche ensemble en Ardèche, fêté le premier anniversaire d’Agathe aux Vans. En fait, tu étais présent, toujours, comme un frère, un très proche en pointillés.

    Je te reconnais dans ces quelques phrases tirées du livre de JJS, Tu ne connaîtras jamais les Mayas : « Car si Camille n’était ni misanthrope ni réellement taciturne, ses accès de colère et de révolte contre ses prochains venaient souvent recouvrir ce qui était sa vraie nature, qui était faite d’une grande bonté, d’une intelligence où l’esprit de finesse compensait largement un défaut d’esprit de géométrie, et d’une gaieté enfantine qui ne demandait qu’à s’épancher. »

    D’après mes souvenirs, JJ nous avait partagé le portrait de Camille, un peu de toi, un peu de moi. Un peu comme des jumeaux.

    Mais tu as emporté avec toi ta gaité enfantine. Nous n’irons plus à la fête de la soupe du Pont de Montvert, transpercés par le vent du Nord et nous réchauffant les mains autour des petits bols en plastiques dans lesquels nous goutions avec sérieux les soupes que des villageois avaient concoctés patiemment, et nous avions donné des notes en rigolant et en buvant des coups.

    Tu as emporté avec toi ta grande bonté, tes yeux malicieux.

    J’ai perdu un ami, un frère, et me sens orpheline. Je peine à t’imaginer en cher disparu, et essaie de tricoter un ouvrage avec ces souvenirs aux dates et aux images floues, façon maladroite de te faire vivre encore avec ce que tu as imprimé en moi.

    Merci de ta belle présence dans ma vie.

  • Il y a 1 mois
    Serj Legraverend

    En 1967, nous nous sommes rencontrés à Cosne sur Loire dans la Nièvre, tu avais 13ans moi 17 et je t'ai prêté un disque que je venais de me procurer" Kind of Blues" de Miles Davis.
    Après mon service militaire, en 1972, nous avons décidé de partir avec une 2cv ,3 vitesses 6volt à Copenhague pour visiter le premier grand collectif "Kristiansand".
    En 1974, nous voilà parti sur la route de l’Inde , voyage de 7 mois ,nous découvrirons l'Orient à travers la Turquie,l'Iran, l'Afghanistan, le Pakistan, l'Inde du nord, les trekking dans l'Himalaya au Népal, l'Inde du Sud et retour par la même route en traversant l'Afghanistan très enneigé, et épargné par la guerre entre la Turquie et la Grèce.
    J'habitais en Provence et à partir 1981 je ne t’ai plus croisé à mon grand désespoir.
    Par Louis Jolicoeur je crois, j'ai appris la naissance de ton fils Arsène .
    C'est seulement aujourd'hui, 6 juin, que j'apprends la suite de ton voyage.....et je pleure..... merci infiniment, Lionel, pour tout ces moments d'émerveillement que nous avons partagé et vu certains commentaires, toi,moi sommes resté fidèle à cette liberté d'être dans la Joie ,l’Amour de la Vie.
    Arsène, bien entendu, si tu lis ceci, ça serait un immense plaisir de pouvoir partager avec toi nos précieux moments avec ton père.
    Mes plus profondes condoléances du Cœur ❤️
    Serj
    Ps:j’habite près de Ganges dans le piémont Cévenol.
    0652000467

  • Il y a 2 mois
    Frédéric Vivier

    Cher Lionel,

    « Ce sera comme un arrêt brutal du train. Au beau milieu de la campagne un jour d’été. »

    Je crois que ce sont ces vers de René Guy Cadou, un poète de chez moi, un nantais, qui expriment
    le mieux ce que je ressens en écrivant ces lignes.
    C’est par un message de Jean-Jacques que j’ai appris. J’étais en train de peindre, figure-toi. J’étais
    en train de peindre les murs de l’appartement juste en dessous de celui que tu as repeint tant de fois,
    rue de Charonne, cet appartement où tu étais comme chez toi. Je m’étais dit dans la matinée que
    ce serait autrement plus sympa un tel chantier avec Lionel plutôt que de se farcir ça tout seul
    comme je le faisais. Et il y a eu le message. Je n’ai pas voulu voir le message que je venais de
    voir. J’ai jeté le téléphone et j’ai repris le rouleau. J’ai continué à peindre. Un peu. Et puis j’ai dû
    m’asseoir. Et je n’ai plus rien fait de la journée.

    « Ce sera comme un arrêt brutal du train. Au beau milieu de la campagne un jour d’été. »

    Depuis je me demande pourquoi je suis si touché, pourquoi tant de monde est si touché. Je me
    demande ce que ta disparition vient arracher à chacun d’entre-nous. Parce qu’au delà de chaque
    histoire individuelle elle vient nous arracher quelque chose d’universel.
    Je crois que ce que j’aimais chez toi c’est ce détachement, ce dilettantisme. Détachement par
    rapport aux choses, attachement aux personnes. Dilettantisme non pas dans son acception
    péjorative, car tu aimais la belle ouvrage et ne supportais pas le travail de gougnafier. Non,
    dilettantisme dans toute la noblesse de ce terme (littéralement délecter, enchanter).
    Le dilettante est celui dont l’action est mue par un principe plaisir. Derrière cette attitude il y a une
    absence de peur de l’avenir, il y a une foi inébranlable dans la vie. Demain n’existe pas. Hier
    n’existe plus et seul existe ce moment que nous vivons ici et maintenant. En creux tu nous disais
    que c’est ce moment que nous sommes en train de vivre ensemble qui est la chose la plus
    importante au monde. Et tu avais cent fois raison.

    J’ai eu la chance de croiser ta route grâce à Jean-Jacques et Françoise. J’ai l’impression de t’avoir
    toujours connu mais je devais avoir une dizaine d’année la première fois que je t’ai rencontré, lors
    de cette mémorable randonnée à travers les Cévennes. Là où chacun était équipé vieux campeur, toi
    tu arpentais les sentiers escarpés en tongs et chemise à fleur. Cette version contemporaine de
    Siddhartha avait fait forte impression sur le gamin que j’étais. Et puis je t’ai vu comme ça tout au
    long de ma vie, souvent en Ardèche, toujours avec beaucoup de plaisir.

    Quelque chose de plus intime s’était noué ces dernières années. Il me semble que ça a commencé
    l’été où J-J était malade et où tout le monde traînait un peu comme une âme en peine aux Vans. Je
    me suis souvent demandé ce que tu pouvais apprécier chez moi. Je crois que c’est parce que nous
    partagions ce statut de célibataire d’un certain age. Nous n’avons pas tout à fait le même age (je
    me suis demandé plus d’une fois lequel est le plus jeune des deux) mais passé certaines étapes de la
    vie le célibat prend une saveur particulière dont nous partagions une compréhension tacite qui nous
    rapprochait. Ce sentiment enivrant de liberté, d’un champ des possibles immense, de pouvoir aller
    au bout de la nuit à Payzac, dans les bodegas de Nîmes, car personne ne nous attend. Ce drôle de
    sentiment de solitude aussi, car personne ne nous attend. Quand on est célibataire passé un certain
    age, on est un peu comme une particule quantique : notre vie est une fonction d’onde, elle est
    superposition de multiples états possibles, on s’amuse de l’effet tunnel, mais au fond de nous on a la
    nostalgie de la réduction du paquet d’onde, de la projection qui vous fait entrer dans le monde
    macroscopique. Et ça l’un et l’autre on le comprenait.
    Des fois on parlait de nos enfants. Je sentais cette fierté quand tu parlais d’Arsène. D’autres fois
    on parlait des femmes. Tu disais avec tendresse « elles sont folles... » en partant d’un grand rire, ce
    rire chaleureux et enveloppant, ce rire de fumeur qui parfois finissait en quinte de toux.

    Chacun a son histoire avec toi ; une histoire très importante. Car chacun a compris avec toi que c’est ce moment que nous sommes en train de vivre ensemble qui est la chose la plus importante au monde.
    Alors maintenant je ne sais pas avec qui j’irai à la fête de Payzac, au beau milieu de la campagne les jours d’été. Je ne sais pas qui m’embarquera dans des bodegas introuvables de la nuit nîmoise.
    Mais je sais que tu ne seras jamais très loin.

    Tu m’avais invité de nombreuses fois à Annecy. Je n’avais jamais eu l’occasion de venir. Me voilà
    aujourd’hui. Je tenais à venir te remercier de ce que tu incarnais de si inspirant et qui je l’espère
    continuera à m’inspirer : il n’y a pas lieu d’avoir peur de demain.

    close Photos postées par Frédéric Vivier
    Souvenir de Monsieur Lionel VOYNIER par Frédéric Vivier
  • Il y a 2 mois
    Thibault Roure

    Heureux les gens qui ont croisé ton chemin. Je garderai de très bons souvenirs de toi, tes sourires, ton humour, ta gentillesse.
    Comme nombreux autour de moi je t'apprécie beaucoup Lionel. Continue bien ta route vers l'au-delà, on s'y retrouvera !
    Toutes mes condoléances à Arsène, la famille et les ami.e.s

  • Il y a 2 mois
    Grégoire EDOUARD

    En espérant que tu te sois réincarner en oiseau pour t'affranchir de toutes les frontières.
    Bon voyage Lionel

  • Il y a 2 mois
    Laurence Picard

    Lionel était comme un oncle que je voyais rarement depuis notre déménagement dans le sud mais je garderai son sourire et sa bonne humeur débordants dans mon cœur. Courage à toi Arsène que je ne connais qu'à travers ce que ton père qui t'adorait m'a partagé.

    close Photos postées par Laurence Picard
    Souvenir de Monsieur Lionel VOYNIER par Laurence Picard
  • Il y a 2 mois
    Alain Picard

    Bien avec toi Arsène par le cœur et la pensée. Je suis un vieil ami de ton père avec qui j'ai passé de grands moments à annecy.
    Mes condoléances à toute ta famille.
    Je te salut chaleureusement mon ami Lionnel et je te souhaite bon vent. Alain

  • Il y a 2 mois
    Roseline Chavagneux

    Accompagné de fleurs

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 2 mois
    Roseline Chavagneux

    Cher Lionel, ton grand cœur insouciant t'a bien trop tôt lâché. L'empreinte de notre longue amitié, de ta finesse et de ta joie de vivre sera toujours avec moi.
    Pensées chaleureuses à Arsène.
    Photo du 2 janvier : dernière balade en trio.

    close Photos postées par Roseline Chavagneux
    Souvenir de Monsieur Lionel VOYNIER par Roseline Chavagneux
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Le livre hommage met à l'honneur les différents messages et photos partagés sur cet espace avec une mise en page élégante.
  • - Format 210 x 210mm sur papier 200 gr. et ½ semi-brillant
  • - Imprimé et façonné en France
  • - Livré via colissimo (nous attendons de réceptionner tous les hommages avant de produire le livre)
  • - Suivi du colis par SMS
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Prix TTC: 49,90€